Invité sur le plateau de Jordan De Luxe, Jean-Michel Cohen est revenu sur son salaire. Il confie ne pas se sentir à l’aise avec sa fortune.
Ce sont des révélations cashs. Jean-Michel Cohen était l’invité de Jordan De Luxe, le jeudi 2 février. L’occasion pour le professionnel de santé de se confier sur sa vie très confortable. “On vit bien quand on s’appelle Jean-Michel Cohen aujourd’hui ?”, lui a alors demandé l’animateur. “Ah oui, vraiment bien !”, s’est exclamé le célèbre nutritionniste. “C’est quoi, 15.000 euros ?”, a voulu savoir Jordan De Luxe. Et c’est en toute honnêteté que le médecin répond : “C’est même un plus (…) 20.000 euros par mois”, confie-t-il. Le nutritionniste révèle alors ses sources de revenus. “Les livres comptent pour beaucoup. Parce qu’il y a les livres que vous voyez quand ils sortent, ceux qui se vendent parce qu’ils sont sortis. Il y en a eu plus de 30, et il y a les livres qui se vendent à l’étranger. Donc il y a beaucoup de choses”, précise-t-il.
En effet, Jean-Michel Cohen vend ses livres à des centaines de milliers d’exemplaires : “À un moment donné, le guide des aliments, ça a été 200.000 exemplaires à chaque fois, partagé avec Patrick Serog, mais on touchait 2 euros par exemplaire. Donc 400.000 euros, c’est 200.000 chacun”. S’il peut être fier de sa réussite, Jean-Michel Cohen dit ne pas être à l’aise avec sa fortune. “On a honte. On ne sait pas jouer avec l’argent. Ça veut dire que je suis dépensier, même si je gagne beaucoup d’argent, je dépense et surtout, je donne beaucoup”, confia-t-il.
Pour le nutritionniste qui a été élevé dans une famille modeste, l’argent ne représente pas tout dans sa vie : “Pour moi, l’argent est une non-valeur. Je n’en ai pas eu beaucoup, j’ai vu mes parents souffrir pour en gagner un peu. Donc pour moi, c’est une non-valeur. Et j’avais un grand-père formidable qui disait : ‘Le riche, c’est celui qui vit comme un riche, et le pauvre, c’est celui qui vit comme un pauvre. Et j’ai toujours vécu comme un riche, même quand j’avais pas de fric”, explique-t-il.
Pas de raison de ne pas être fier, lorsqu’on bosse et que l’on réussi! Ceux qui devraient se cacher, c’est ceux qui vivent aux crochets de la société et donc de ceux qui travaillent… beaucoup!