Nathalie Marquay s’est confiée au micro de Dominique Lagrou Sempère. L’ancienne Miss France revient sur la disparition de son mari, Jean-Pierre Pernaut.
Les mois passent mais la tristesse et le deuil sont toujours bien présents. A l’occasion d’un entretien avec Dominique Lagrou Sempere, Nathalie Marquay est revenue sur la disparition de son époux. “Si je te dis ‘manque’ ?”, l’interroge l’ancienne partenaire du présentateur de TF1. Nathalie Marquay Pernaut répond : “Sa voix, ses bras, sa personne, quoi”. “Son rire !”, se souvient avec émotion la journaliste. “Son rire tellement communicatif. Tellement naturel, tellement… même dans son rire il y avait de la générosité”. “Mais sa voix, c’est un truc de dingue”. L’occasion de rendre hommage à l’homme de sa vie. “J’ai l’impression d’avoir oublié de dire plein de choses à Jean-Pierre. J’ai plein de mots qui me viennent pour lui et je me dis : ‘Mince, je n’ai pas pu lui dire, mince’. Et c’est pour cela qu’il faut en profiter et il faut oser dire les choses”.
Avec du recul, Nathalie Marquay regrette de ne pas lui avoir dit assez “je t’aime”. “C’est un mot que je dis très rarement parce que ma mère ne me l’a jamais dit, confie-t-elle à Dominique Lagrou Sempere. Mon père me l’a dit un peu plus tard, mais c’est un mot qui est extrêmement difficile pour moi”. “Regrettant” de “ne pas l’avoir dit assez”, l’ancienne Miss France avoue ne pas arrêter “de le dire” à ses enfants, “et c’est grâce à Jean-Pierre”. “Ma fifille Lou, je t’aime. Mon Tom, je t’aime. Je vous aime très fort”, lance-t-elle.
Interrogée dans 50′ Inside, diffusée sur TF1, Nathalie Marquay revenait sur son deuil difficile : “Il est toujours proche de moi. Il est à côté. Et personne ne pourra le remplacer…”. Elle dévoilait aussi son tatouage où était renseigné les initiales du nom de son mari : “Il est gravé dans mon cœur et il est également gravé sur ma peau”. “Je sais qu’il est près de moi. Je crois aux anges, à la vie après la mort (…) Lui qui était très terre à terre quand je lui parlais de ça, il me fait désormais des signes. Pendant deux mois, j’ai quitté l’hôpital chaque soir à 21 heures et la Tour Eiffel était éteinte. Le jour où il est mort, en sortant, elle était allumée, elle scintillait. C’est là qu’on avait eu notre premier rendez-vous au restaurant”