Ce mercredi 30 janvier, André Dussollier était l’invité d’En Aparté sur Canal +. Le comédien s’est livré sur un lieu qu’il adore mais dans lequel il ne se rend qu’en cachette. Explications.
Mais quel peut bien être ce lieu si étonnant ? Ce mercredi 30 janvier, André Dussollier a fait un nouveau passage dans l’appartement d’En Aparté sur Canal +. “J’ai l’impression que je squatte encore une fois cet appartement“, s’amuse-t-il en entrant dans la pièce. Et de remarquer : “Rien n’a bougé. Je regarde à chaque fois que je vois l’émission, je vois toujours ce que les gens découvrent.” La production du programme de Nathalie Lévy prend en effet grand soin d’aménager ces lieux en fonction de l’invité du jour. Des livres, des albums, des photographies qui ont une signification très particulière au cœur de celui ou celle pour qui ces objets ont été disposés. Il en va de même avec la vue. Chacun la sienne. Derrière une grande (et fausse) baie vitrée, l’équipe de l’émission de confidence projette un fond qui rappellera des souvenirs – souvent d’enfance – à son convive. Mais le moins que l’on puisse dire, c’est que celui d’André Dussollier a de quoi surprendre.
Pour la première fois, ce n’est pas une ville qui a été mise à l’honneur mais… des montagnes russes. Le comédien l’a remarqué avant même que Nathalie Lévy ne lui mette la puce à l’oreille. “Ça fait un petit moment que je n’ai pas fait de grand huit“, déplore l’intéressé, et son hôte de lui avouer : “Vous associez aux montagnes russes, ça m’a troublée.” André Dussollier est pourtant un grand fana de ces attractions à sensations. A tel point qu’il a une connaissance approfondie dans ceux qui existent mais celui-ci lui avait échappé. Et pour cause, “c’est un paysage virtuel qu’on a créé spécialement pour vous“, se targue Nathalie Lévy “Vous devriez le réaliser, parce que ça promet, ça a l’air pas mal comme loopings et tout ça“, lui lance-t-il, avant d’expliquer : “J’adore ça. En fait,c’est un plaisir qui est né dans l’enfance.” Tout remonte en effet lorsqu’André Dussollier n’était qu’un petit garçon.
“Mon premier jeu quand j’étais enfant, très jeune, c’était de faire des pirouettes dans l’herbe, à la montagne. Et le plaisir de tourner sur soi-même comme ça, ça me faisait des chatouillis dans le ventre. C’était ma première joie enfantine et du coup, je n’ai eu de cesse de vouloir la retrouver”, développe-t-il. Et c’est dans les loopings qu’il a retrouvé cette sensation “multipliée par 100, 150, 200“. Alors à chaque fois qu’il le peut, l’homme de 76 ans ne manque pas l’occasion de se rendre dans un parc d’attractions, et ce, encore aujourd’hui. Le dernier en date ? “Ça doit être du côté de Marne-la-Vallée“, imagine-t-il, faisant référence à DisneyLand. “Je force mes enfants à y aller, maintenant ils ne veulent plus donc j’y vais en cachette mais j’aime bien ça, je les connais tous par coeur et j’attends l’ouverture des prochains grands huit qui doit avoir lieu bientôt, je crois l’année prochaine“, s’enthousiasme-t-il. Pas de doute, son âme d’enfant ne l’a jamais quitté.