Les histoires sur le mariage de Charlene de Monaco au prince Albert II sont nombreuses et l’une d’elles implique son père, Michael Wittstock…
- Un nouveau livre sur Charlene de Monaco a été écrit par Arlene Prinsloo
- L’autrice y parle du mariage de Charlene et Albert II de Monaco
- Elle explique pourquoi Charlene ne voulait pas parler avec son père le jour J
C’est un jour dont les connaisseurs des familles royales, et notamment celle du Rocher, parlent toujours. Le mariage de Charlene Wittstock avec le prince Albert II de Monaco le 1er juillet 2011 est un événement historique à plus d’un aspect, mais il aurait pu être marqué par un énorme scandale. Juste avant son mariage, l’Express avait en effet dévoilé que Charlene de Monaco avait essayé de fuir le Rocher et de se réfugier en Afrique du Sud, dont elle est originaire, mais qu’elle avait été rattrapée par des proches de la famille princière. Depuis ce jour, elle est connue comme “la mariée fugueuse” et les larmes qu’elle verse alors qu’elle est mariée à Albert II de Monaco ont donc été sujettes à de nombreuses interprétations.
Arlene Prinsloo, autrice d’un livre sur Charlene de Monaco qui paraîtra le 25 mai prochain, a tenu à revenir sur ce jour compliqué et notamment sur un détail surprenant : la demande de Charlene de ne pas parler avec son père, Michael Wittstock. Selon Arlene Prinsloo et ce qu’elle explique dans Charlene story : l’étonnant destin de la nageuse devenue princesse de Monaco, la mariée redoutait que les médias, déjà très impliqués dans sa vie privée, ne viennent encore davantage gâcher ce jour si spécial. “Apparemment, Charlene aurait dit à son père de ne pas lui parler lors de la cérémonie, car les médias essaieraient de lire sur leurs lèvres et interpréter leur conversation… “.
Afin d’éviter que des conversations très privées ne se retrouvent dans la presse de manière plus ou moins approximative, Charlene de Monaco serait donc restée loin de son propre père le jour de son mariage. Mariage qui, toujours selon Arlene Prinsloo, était par ailleurs un événement heureux, contrairement aux diverses interprétations qui en ont été faites. “Elle sera toujours connue comme la ‘mariée fugueuse’, mais je suis sûre à 100% que ce n’était pas le cas et que les larmes étaient un grand moment de soulagement”. Une affirmation que l’intéressée à déjà démentie par le passé.