Par Lola G.
Samedi 21 janvier 2023, Claudia Cardinale a accordé un entretien au journal italien Corriere della Sera. Alors que les médias lui ont longtemps prêté une liaison avec Jacques Chirac, l’actrice a accepté de donner sa version de l’histoire.
Une rumeur qui continue de perdurer… Depuis les années 1990, Claudia Cardinale et Jacques Chirac font l’objet d’une rumeur : l’ancien président de la République et l’actrice auraient eu une liaison. Dans le livre Sexus Politicus, les journalistes Christophe Dubois et Christophe Deloire avait écrit : “À l’Élysée, Chirac apprécie, de temps à autre, la compagnie de Claudia Cardinale. La rumeur d’une liaison entre l’actrice italienne court le Tour-Paris. La comédienne (…) est obligée de démentir.” De son côté, Aquilino Morelle, conseiller de Lionel Jospin, avait assuré que le mari de Bernadette Chirac avait passé la nuit avec l’actrice le soir de la mort de Lady Diana.
Samedi 21 janvier 2023, c’est alors qu’elle a été interrogée sur cette rumeur que Claudia Cardinale a confié au journal italien Corriere della Sera : “Ce n’est absolument pas vrai. J’avais soutenu sa campagne électorale, car à ce moment-là, il me paraissait être le bon Président et la presse en a fait toute une histoire. Rendez-vous compte : j’ai dit non à Brando, à Delon, à Marcello… Chirac devait être un ‘homme à femmes’, mais pas avec moi.” Acceptant d’en dire plus, l’actrice a indiqué : “Chirac m’avait remis la Légion d’honneur, et j’avais défendu sa candidature publiquement. Ces deux éléments, ajoutés à sa réputation d’homme à femmes, pouvaient suffire à faire naître des rumeurs. Mais je vous assure qu’il ne s’agit que de ça…“
Au cours de cet entretien, la célèbre actrice a également démenti la présence de l’ancien président de la République chez elle le soir de la mort de Lady Diana. “Les photos qui nous montraient ‘ensemble’ étaient des montages. Ils avaient enlevé le visage de mon ami Jacques Moisant et mis celui de Chirac à la place. On s’en est rendu compte plus tard, car Moisant avait un goût excentrique pour les gilets. Chirac était très gêné par cette rumeur. Il m’a écrit une lettre, que je garde, dans laquelle il s’en amusait. Mais il a aussi écrit qu’il était flatté“, a-t-elle précisé.