Dans ses mémoires, le prince Harry critique vivement Paul Burrell, l’ancien majordome de Lady Di. Le duc affirme que cet homme avait exploité la mort de sa mère pour s’enrichir.
- Dans son livre, le prince Harry critique vivement Paul Burrell
- Le duc de Sussex affirme que Paul Burrell a exploité la mort de sa mère pour se faire de l’argent
- Le prince Harry décrit les événements qu’il a vécu en 2003 dans son livre
Le livre récemment sorti du prince Harry est riche en révélations. S’il critique ouvertement des membres de la famille royale comme le prince William et Kate Middleton, il s’attaque également à d’anciens proches de la princesse Diana. Dans son livre, le prince Harry, 38 ans, affirme que Paul Burrell a utilisé la mort de sa mère pour se faire de l’argent. Notons que Paul Burrell, 64 ans, a été le valet de pied de la Reine. Par la suite, il a été le majordome de Lady Diana pendant 10 ans jusqu’à la mort de la princesse en 1997.
Le duc de Sussex affirme que Paul Burrell a exploité la mort de sa mère quand il a publié son livre “A Royal Duty“. D’ailleurs, dans son autobiographie, le mari de Meghan Markle affirme que le livre de M. Burrell, publié en 2003, avait suscité de vives critiques de la part de la famille royale. Dans une déclaration, les frères de Clarence House avaient accusé Paul Burrell de “trahison froide et ouverte“. Face à ces critiques, Paul Burrell avait accepté la suggestion de rencontrer les princes afin de justifier son livre. Il voulait également parler des parties de la vie de leur mère dont ils n’ont pas été témoins, selon Daily Mail. “J’adorerais leur dire ce que je pense“, avait ajouté Paul Burrell.
Le livre du père d’Archie et Lilibet décrit clairement comment il avait appris l’existence du livre de Paul Burrell. A l’époque, le prince Harry avait 19 ans et travaillait comme ouvrier agricole non rémunéré en Australie. “L’ancien majordome de maman avait écrit une histoire qui ne racontait rien“, explique le prince Harry. “Il s’agissait simplement de la version des événements d’un homme qui se justifiait et se centrait sur lui-même“, continue-t-il en ajoutant : “Ma mère a dit de ce majordome qu’il était un ami très cher et qu’elle lui faisait implicitement confiance. Nous aussi. Et maintenant ça. Il a exploité sa disparition pour de l’argent. Ça m’a fait bouillir le sang“.