Ce jeudi 19 janvier, Mélissa Theuriau a fait de tendres et rares confidences sur ses enfants Léon et Lila, nés de ses amours avec Jamel Debbouze. La productrice se livre sur sa nostalgie de les voir grandir.
Une maman nostalgique mais fière. Ce jeudi 19 janvier, Mélissa Theuriau a accordé une longue interview à Giulia Foïs pour le magazine Psychologies dans lequel elle se livre comme rarement auparavant sur sa vie de famille. Si l’entretien est axé en grande partie sur le secret de son mariage qui dure avec Jamel Debbouze, la productrice s’est également laissée aller à quelques confidences sur leurs deux enfants. Entre Mélissa Theuriau et Jamel Debbouze, l’évidence a été telle que tout est allé très vite entre eux. Un an après leur rencontre, les deux tourtereaux se passaient la bague au doigt et accueillaient leur premier enfant.
“On s’était trouvés, c’était une évidence (…) Le mariage et les enfants c’était ça : ‘Viens, on ne se promet pas l’impossible, mais on vit comme si, demain, tout pouvait s’arrêter’“, raconte la principale intéressée. C’était il y a près de quinze ans et (presque) rien n’a changé. Ainsi, leur amour est toujours aussi fort et semble toujours autant inébranlable. La seule différence, c’est leurs enfants : Léon et Lila, qui ont désormais 14 et 11 ans. Ils grandissent et forcément, des sentiments contradictoires viennent s’entrechoquer.
“On passe notre temps à espérer qu’ils deviennent plus autonomes. Mais quand ils commencent à nous échapper, quand on n’est plus si nécessaires, en fait, ça bouscule“, déplore Mélissa Theuriau. Et d’avouer : “J’ai une nostalgie folle de leur petite enfance !” Ce qui ne l’empêche pas d’être fière des adolescents qu’ils sont. “Au moins, quand je vois l’attention qu’ils ont pour autrui, je me dis que le travail est fait. Et moi qui voulais leur offrir quelque chose de plus joyeux que ce que j’avais connu, ça, c’est réussi”, se targue l’ancienne présentatrice de Zone Interdite. Si cette étape “est difficile” à vivre, Mélissa Theuriau promet toutefois : “Je vais le passer, ce cap.” Ses enfants ne lui laisseront pas le choix. Et puis, c’est une première expérience afin de ne pas subir trop violemment le syndrome du nid vide.