Lisa Marie Presley, morte brutalement à 54 ans le 13 janvier 2023, avait écrit une lettre ouverte déchirante dans les colonnes de People deux ans après la mort de son fils survenue en juillet 2020.
Une blessure qui n’a jamais guérie… Le 12 juillet 2020, Lisa Marie Presley perdait son fils. À l’âge de 27 ans, Benjamin Keough se suicidait après des années de dépression et de lutte contre ses addictions. Deux ans après sa disparition, c’est à l’occasion de la Journée nationale de sensibilisation au deuil que la fille d’Elvis Presley avait écrit avec “amour” et “douleur” une lettre ouverte. Pour People, elle avait ainsi partagé : “La mort fait partie de la vie, que cela nous plaise ou non, tout comme le deuil. Il y a tellement de choses à apprendre et à comprendre sur le sujet, mais voici ce que je sais jusqu’à présent : la première est que le deuil ne s’arrête pas ou ne disparaît en aucun sens, un an ou des années après la perte. Le deuil est quelque chose que vous devrez porter avec vous pour le reste de votre vie.“
Malgré la douleur, Lisa Marie Presley était restée forte pour ses trois filles, Riley (33 ans) et les jumelles Harper et Finley (14 ans). “C’est un vrai choix de continuer, un choix que je dois faire chaque jour et un défi constant pour le moins qu’on puisse dire… Mais je continue pour mes filles. Je continue parce que mon fils m’a dit très clairement dans ses derniers instants que s’occuper de ses petites sœurs et s’occuper d’elles était au premier plan de ses préoccupations et de son esprit“, avait confié celle qui a été terrassée trois ans plus tard par une crise cardiaque à seulement 54 ans. “Ma vie et celle de mes trois filles telles que nous la connaissions ont été complètement détruites par sa mort. Nous vivons avec ça un jour après l’autre“, avait-elle ajouté.
Assurant que le deuil était “incroyablement solitaire“, la fille de Priscilla Presley avait confié en toute transparence : “Je me bats avec moi-même et je me bats inlassablement et de manière chronique contre la culpabilité. Je me blâme chaque jour et c’est assez difficile à vivre maintenant. (…) Rien, absolument rien n’enlève la douleur, mais trouver du soutien peut parfois vous aider à vous sentir un peu moins seul.” Inconsolable, la jeune femme avait glissé : “La mort de mon magnifique fils ? L’être le plus doux et le plus incroyable que j’aie jamais eu le privilège de connaître, qui m’a fait me sentir si honorée chaque jour d’être sa mère ? Qui ressemblait tellement à son grand-père à tant de niveaux qu’il m’a réellement fait peur ? Ce qui m’inquiétait encore plus pour lui que je ne l’aurais fait naturellement ? C’est impensable.“