- Les Mémoires du prince Harry vont être diffusées le 10 janvier 2023
- Dans ce livre, le duc de Sussex revient sur sa vie passée
- Il n’hésite pas à avoir des propos très durs contre son frère et son apparence
Le 10 janvier prochain, le prince Harry va diffuser son livre, Le Suppléant, dans lequel il revient sur sa vie entière. Et dans son récit, les anecdotes cocasses pour la famille royale britannique sont nombreuses. Le duc de Sussex tient alors des propos assez durs contre son frère, le prince William. Il évoque notamment les funérailles de son grand-père, le prince Philip. Lorsque son père et son frère aîné sont arrivés dans les jardins, le prince Harry a eu l’impression d’être en “duel” avec eux, plutôt que dans une phase de réconciliation. “Je regardai William, je le regardai vraiment, peut-être pour la première fois depuis que nous étions petits, en l’analysant dans tous les détails : sa mine renfrognée familière, qui avait toujours été la norme dans ses rapports avec moi”, s’est souvenu le duc de Sussex.
En le scrutant avec attention, le prince Harry note que la calvitie de son frère est “alarmante”, “plus avancée que la (sienne)” et que toute ressemblance avec leur mère s’est “évanouie”. Des mots cinglants qui font écho à un autre passage dans le livre, dans lequel le mari de Meghan Markle revient sur une bagarre qu’il a eue avec son frère. Les faits remonteraient en 2019. Selon ses dires, William “m’a attrapé par le col, arrachant mon collier, et m’a fait tomber par terre”, relaterait Harry. “J’ai atterri sur la gamelle du chien, qui s’est brisée sous mon dos, les morceaux m’entaillant”. Son frère se serait ensuite “excusé”. Les deux frères se seraient alors disputés violemment car l’époux de Kate Midlleton aurait qualifié Meghan Markle de femme “difficile” et “impolie”.
La consommation de drogue du prince Harry
Puis le prince Harry évoque aussi ses déboires de jeunesse, notamment sur la consommation de drogues. “Chez quelqu’un, lors d’un week-end de chasse, on m’a proposé une ligne et ensuite j’en ai encore pris”. “Ce n’était pas très amusant, ça ne m’a pas rendu particulièrement heureux”, “mais ça m’a fait me sentir différent, et c’était mon objectif principal, se sentir, être différent”. “J’étais un jeune de 17 ans qui voulait essayer n’importe quoi qui vienne bousculer l’ordre établi. En tout cas, c’est ce dont j’essayais de me convaincre”.