PUBLICITÉ
Le théâtre de Marioupol avait été bombardé au mois de mars, faisant 300 morts. Le Kremlin nie toujours toute implication dans cette attaque. Alors que les Russes démolissent aujourd’hui ce qu’il en reste, il s’agit pour certains Ukrainiens d’une façon d’effacer les preuves d’un crime de guerre.