Dans un Mondial où la tendance des arbitres a été de laisser jouer et de ne pas trop siffler ni sanctionner les fautes, Eric Di Meco souligne la tendresse des Bleus. Selon lui, les Français auraient dû être plus rugueux, à l’image des Argentins qui se sont mis “à la limite” pendant que les Bleus “regardaient l’arbitre après chaque coup”.