Dans l’épisode de L’amour est dans le pré, diffusé le lundi 26 septembre 2022, Guillaume va être quelque peu étonné sur le comportment de ses deux prétendantes.
Ce lundi 26 septembre 2022, les téléspectateurs vont découvrir les nouvelles aventures des agriculteurs de L’amour est dans le pré. Mais d’ores et déjà, certains petits chanceux vont pouvoir déjà suivre les nouveaux candidats et leurs prétendants. Ainsi, les internautes ont pu voir Guillaume, un jeune éleveur du Limousin de 28 ans. Mais alors qu’il se prépare à accueillir ses prétendantes, ces dernières lui font la surprise d’arriver ensemble. “Margot et Noémie, toutes les deux originaires des Hauts-de-France, ont décidé de faire du covoiturage et de rouler pendant 6 longues heures ensemble pour rejoindre leur agriculteur”, écrivent nos confrères de Télé-Star.
Mais ce n’est pas tout. Les deux jeunes femmes sont même devenues amies. Une situation qui a déstabilisé le jeune agriculteur : “Elles sont super copines, c’est super bizarre. C’est bizarre qu’elles aient fait la route ensemble. (…) Là c’est compliqué pour moi, elles sont entre filles donc quand je prendrai ma décision, ça n’ira pas quoi… “. Mais que Guillaume se rassure, les deux jeunes femmes sont bien décidées à faire passer l’amour avant leur amitié. Il est vrai que parfois les prétendantes des agriculteurs les laissent sans voix. Ce fut le cas pour Alexandre qui a vu débarquer à la ferme une Laura assez entrepreneuse.
A Télé-Loisirs, Alexandre confie : “J’étais content que toutes les deux viennent à la ferme. Je les avais sélectionnées parce qu’elles me plaisaient le plus. Laura est arrivée la première, je lui ai fait faire un tour de tracteur. Comme elle était la première, elle était vraiment heureuse. Ça s’est très bien passé (…) C’est normal que d’avoir passé plus de temps avec Laura parce qu’elle ne connaissait pas mon milieu, je lui ai expliqué. Je voulais être neutre avec les deux, qu’elles soient au même niveau. Je pense qu’elle était très contente que je passe du temps avec elle pour lui expliquer”.
Avoir deux femmes à la ferme destabilise les agriculteurs
Il est vrai que parfois, avoir deux femmes à la ferme peut être déstabilisant : “C’est gérer les deux filles. Il faut faire la même chose pour les deux pour ne pas faire de préférences, ce n’est pas évident. C’est surtout ça. J’avais prévu ce que j’allais faire à la ferme : une soirée bowling, une balade à cheval… J’avais tout planifié ! Ensuite, on voyait comment faire avec les caméras mais j’avais prévu mon planning quand même”.
Hervé : ” Il y avait une petite concurrence entre elles”
Pourtant, L’amour est dans le pré permet de former de beaux couples, comme Hervé et Stéphanie, qui ont annoncé leur mariage. Lui aussi avait ressenti une terrible pression lorsque ses deux prétendantes débarquent à la ferme : “Dans un premier temps, les tensions je ne les connaissais pas. J’ai su qu’il y en avait déjà eu au speed dating. Mais c’est lors de l’arrivée de Stéphanie que j’ai commencé à percuter. Vanessa avait déjà lancé un petit mot. C’est là que je me suis dit “oula”. J’avais remarqué que ça balançait déjà. Il y avait une petite concurrence entre elles. Et on va dire surtout Vanessa envers Stéphanie. J’étais parti sur deux journées d’analyse pour apprendre à les connaître, voir leur attitude et leur comportement. Cela m’a permis de voir leur caractère. J’avoue que cela m’a étonné mais je me suis dit qu’elles étaient comme ça et puis voilà”.
Les difficultés d’Hervé dans L’amour est dans le pré
Et quand il faut annoncer son choix, Hervé a bien eu du mal : “Automatiquement, car je ne voulais pas finir tout seul à la fin de l’émission. Je voulais vraiment passer du temps avec l’une et l’autre pour ensuite prendre une décision. L’annonce de mon choix à Vanessa reste un moment difficile. Annoncer le départ d’une prétendante, c’est quelque chose de compliqué. Mais après, il faut le faire. Il faut savoir trouver les mots, faire en sorte que ce ne soit pas trop long ni trop expéditif. Il ne faut pas que la personne s’effondre en larmes non plus, mais ça malheureusement, on ne peut pas la contrôler. Même si mon choix était déjà fait d’avance, j’ai voulu la préparer psychologiquement au début du troisième jour pour éviter qu’elle ne soit trop déçue. Il ne faut rien regretter de ce qui s’est passé. Avec des “si”, on n’avance pas”.