Une requête en révision du procès d’Omar Raddad condamné en 1994 à 18 ans de prison pour le meurtre de Ghislaine Marchal est examinée ce jeudi. Un ADN masculin a été retrouvé dans l’une des inscriptions faites avec le sang de la victime, tuée il y a 30 ans. En 2015, quatre ADN masculins avaient déjà été isolés sur la porte où avait été écrit “Omar m’a tuer”. Aucun n’appartenait au jardinier. Mais au fait, c’est quoi exactement l’affaire Raddad et peut-il vraiment être innocenté ? Une explication de Boris Courret.