Le nageur Yannick Agnel, mis en examen pour viol et agression sexuelle sur une mineure de 13 ans, a reconnu “la matérialité des faits” mais nie avoir exercé toute contrainte. “Si les faits sont constitutifs de viol ou agression sexuelle, c’est qu’il existe une différence d’âge importante” entre la victime, âgée de 13 ans à l’époque des faits en 2016, et le nageur, âgé de 24 ans, a expliqué la procureure de la République de Mulhouse, Edwige Roux-Morizot. Yannick Agnel risque jusqu’à 20 ans de réclusion criminelle.