«Invisibles» : une violoncelliste et un pianiste font renaître trois compositeurs oubliés du répertoire français
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14/03/2025 à 08:58

Il y a un an tout juste, on l’entendait jouer lors de l’intronisation de Manouchian et de ses camarades de résistance au Panthéon. Astrig Siranossian ne se contente pas d’être l’un des plus beaux « astres » du violoncelle (on se contente là de procéder à une traduction de son prénom) : alors qu’elle vient d’achever une tournée en Bretagne valorisant les fleurons du répertoire traditionnel et classique arménien (Kodály, Khatchatourian…) avec l’Orchestre national de Bretagne, il semblait opportun de nous remettre en mémoire son dernier album.
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Dans Invisibles, l’artiste de 34 ans remet en compagnie du pianiste Nathanaël Gouin, trois compositeurs oubliés du répertoire français, le Breton Jean Cras, Pierre-Octave Ferroud et l’ancienne élève de Nadia Boulanger, Marcelle Soulage. Ainsi servie, cette héroïque musique début de siècle nous laisse à penser que celle qui vient d’être décorée de l’ordre national du Mérite continuera de nous surprendre en ouvrant la route des festivals dès le printemps.
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Invisibles ★★★, Astrig Siranossian et Nathanaël Gouin (Alpha Classics).

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