PUBLICITÉ
Quelques jours après le bombardement des positions des Houthis au Yémen par Washington et Londres, Paris a refusé de se joindre pour des questions “diplomatiques”.
Quelques jours après le bombardement des positions des Houthis au Yémen par Washington et Londres, Paris a refusé de se joindre pour des questions “diplomatiques”.
Vous avez choisi de refuser le consentement des cookies. Ce site totalement gratuit depuis sa création et a pour vocation de le rester. En nous empêchant de diffuser de la publicité ciblée, vous ne permettez plus au site de vivre.
Nous vous proposons donc de revoir votre choix et d'accepter les cookies en cliquant ici afin de reprendre une navigation adaptée.
Merci à vous