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L’éruption, la quatrième en deux ans, a eu lieu à trois kilomètres d’un village de 4.000 habitants, Grindavik, évacué depuis 11 novembre dernier. Pour l’heure, “aucune perturbation aux arrivées ou aux départs à l’aéroport de Keflavik” n’est à relever, mais une grève des contrôleurs aériens pourrait tout de même perturber le trafic.