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Alors que Mohamed Bazoum est toujours séquestré au sein de sa résidence de Niamey, les militaires putschistes se disent ouverts à une résolution de la crise par voie diplomatique. Ils dénoncent toutefois les sanctions de la Cédéao.
Alors que Mohamed Bazoum est toujours séquestré au sein de sa résidence de Niamey, les militaires putschistes se disent ouverts à une résolution de la crise par voie diplomatique. Ils dénoncent toutefois les sanctions de la Cédéao.
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