- Le prince Harry est devant la justice dans le procès qui l’oppose à l’un des plus grands groupes médiatiques britanniques
- Et durant son audition, le duc de Sussex a fait quelques bourdes
- Dont une concernant son père, le roi Charles III
Le prince Harry est devant la justice. En effet, il témoigne contre l’un des plus grands groupes médiatiques britanniques. La raison ? Le duc de Sussex a ainsi donné son témoignage dans cette affaire. Mais voilà que l’époux de Meghan Markle a commis quelques boulettes. En effet, dans sa déposition, il évoque certains de ses proches, dont Charles III, son père. Il a en effet désigné son par “Son Altesse Royale” et non pas “Sa Majesté”. Un détail qui n’est pas passé inaperçu. En effet, de nombreux observateurs royaux ont réagi, à commencer par Chris Ship, rédacteur en chef royal d’ITV. « Mineur dans l’ordre des choses, mais [c’est] étrange, que le prince Harry a qualifié son père de ‘Son Altesse Royale’ le roi Charles, pas ‘ Sa Majesté le Roi Charles’ », peut-on lire.
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Le prince Harry accuse la presse britannique de vouloir nuire à son image, mais aussi à celle de sa famille. « D’après mon expérience en tant que membre de la famille royale, chacun d’entre nous se voit attribuer un rôle spécifique par la presse tabloïd. Vous êtes soit le prince playboy, soit le raté (…) ou dans mon cas le tricheur, le buveur mineur, le toxicomane irresponsable et la liste est encore longue. En y repensant aujourd’hui, un tel comportement de leur part est tout à fait ignoble ».
Les lourdes accusations du prince Harry
Faisant référence au décès de sa mère, Lady Diana, mais aussi à la course-poursuite récente avec des journalistes américains, le prince Harry a lancé : « Combien de sang va encore tâcher leurs doigts avant que quelqu’un ne mette un terme à cette folie ? », a lancé le mari de Meghan Markle. « Notre pays est jugé dans le monde entier par l’état de notre presse et de notre gouvernement, qui, à mon avis, sont tous deux au plus bas », a dit le fils du roi Charles III, dans sa déposition de témoin. « La démocratie échoue lorsque la presse (…) ne demande pas des comptes au gouvernement, mais choisit plutôt de s’allier à lui pour garantir le statu quo », a-t-il insisté.