C’est dans l’émission “Chez Jordan” diffusée sur C8 que la chroniqueuse Isabelle Morini-Bosc a évoqué son salaire dans Touche pas à mon poste.
C’est une question tabou. Pourtant elle a été posée à Isabelle Morini-Bosc. Invitée de l’émission “Chez Jordan” le 23 mai 2023, la chroniqueuse a été interrogée sur son salaire pour sa participation à “Touche pas à mon poste”. Et surprise : elle ne sait absolument pas combien elle gagne ! “Je ne le sais pas. Moi il y a une chose qui est clair : quel que soit l’organe de presse où j’ai bossé, quand on ne demande rien, on a moins que ceux qui demandent donc j’ai moins que les autres.” a-t-elle avoué sur C8. Selon ses dires, la chroniqueuse ne regarde jamais ses comptes bancaires donc ne fais pas attention aux sommes qu’elle touche. “C’est mon mari qui gère et comme il est hospitalisé j’ose pas lui demander” a révélé Isabelle Morini-Bosc.
A noter que lors de son passage sur C8, Isabelle Morini-Bosc a également été questionnée sur le montant de sa retraite. Une question qui l’a un peu agacée… “Mais d’abord je ne suis pas à la retraite et ensuite je connais mieux les points d’audience que les points de retraite.” a-t-elle balancé, provoquant de fait un fou rire général. Puis, la journaliste et chroniqueuse de TPMP s’est adressée à Jordan de Luxe : “Je sais bien que vous c’est les points sur les i qui vous intéresse mais…”
De son côté, Jordan de Luxe a quand même insisté pour savoir si elle avait le droit à la retraite. “Vous ne touchez pas une retraite ? Vous ne l’avez pas prise ? Mais vous pourriez la prendre ?” a-t-il questionné. “Je ne sais pas” a répondu l’invitée. “Isabelle, je ne vais pas donner votre âge…” a poursuivi l’animateur, en vain. “Je n’en sais foutre rien… Demandez à Bernard Montiel parce qu’un jour il m’a appelée pour me dire ‘Tu sais que tu peux continuer à travailler et faire valoir tes points retraite.’ J’ai dit oui et alors pourquoi tu me dis ça ? Il m’a dit ‘parce que moi je vais le faire’. J’en sais rien, non mais et ! Je sais qu’il faudrait que j’ai une complémentaire.” a conclu Isabelle Morini-Bosc. Au moins, c’est clair !