« Ces inscriptions portent la signature détestable et sans équivoque de la xénophobie, du nazisme et du suprémacisme. » Maire de Rostrenen (Côtes-d’Armor), Guillaume Robic a fait part sur les réseaux sociaux de sa consternation après la découverte ce week-end de tags nazis sur plusieurs bâtiments de la commune. Hébergés dans des locaux municipaux, le bureau de l’union locale de la CGT ainsi que l’antenne du Secours populaire ont été la cible des dégradations dans la nuit de samedi à dimanche.La mairie de Rostrenen, le syndicat et l’association caritative ont porté plainte. « De tels faits doivent être fermement et unanimement condamnés », écrit l’élu. Sur sa page Facebook, l’union locale de la CGT a également dénoncé « des exactions nauséabondes dont nous sommes aujourd’hui victimes après tant d’autres militants ».SociétéBretagne : Un atelier de lecture pour enfants animé par des drag-queens perturbé par des militants d’extrême droiteSociétéBretagne : Une plainte déposée après l’annulation d’un concert par des catholiques intégristes