Les jours passent et les attaques continuent. Après Marseille, Réau, Agen, Villepinte ou encore Nanterre, c’est au tour de Tarascon et Aix d’être pris pour cible. De nouvelles tentatives de « déstabilisation », comme les appelle le ministre de la Justice Gérald Darmanin, ont été recensées dans la nuit de mardi à mercredi à l’encontre des prisons françaises.
Le mode opératoire de ces attaques coordonnées reste le même : des tags, de nombreux véhicules incendiés, et même, dans un des cas, des tirs sur les bâtiments. Ce serait l’œuvre du mystérieux groupe DDPF, qui dit prendre la « défense des droits des prisonniers français » et communique via Telegram, même si Gérald Darmanin a aussi évoqué la piste du narcotrafic.
Pour voir où ont eu lieu ces attaques depuis dimanche soir, consultez notre carte interactive ci-dessous :




