
Le racisme anti-Blancs ? La porte-parole du gouvernement assure n’avoir « aucune pudeur » à évoquer le sujet. « J’habite dans les Yvelines avec des populations de toutes origines. Et il est par exemple arrivé à ma fille au lycée de se faire traiter de “sale Blanche”. Donc ça, c’est du racisme à l’état pur », a affirmé Sophie Primas ce dimanche sur le plateau du Grand rendez-vous sur CNews et Europe 1.
Publicité
La suite après cette publicité
« Le racisme est universel. Il va vers toutes les populations, qu’elles soient d’origine étrangère, qu’elles soient françaises ou qu’elles soient blanches. Le racisme, c’est la haine des autres et la haine de ceux qui sont différents », a poursuivi l’ancienne vice-présidente du Sénat. Avant d’ajouter : « Par conséquent, je n’ai pas de pudeur à vous dire que le racisme anti-Blancs est une réalité ».
La suite après cette publicité
Ce sujet refait surface avec la sortie d’un livre d’enquête sur l’affaire du jeune Thomas, poignardé à mort à Crépol, dans la Drôme, en 2023. Les journalistes à l’origine de l’ouvrage refusent d’analyser cette affaire à l’aune des insultes anti-Blancs qui auraient été proférées lors du drame. De son côté, Marie-Hélène Thoraval, maire de Romans-sur-Isère, ville d’origine de plusieurs personnes mises en cause dans cette affaire, qualifie depuis le début les agresseurs de Thomas d’individus animés par « le racisme anti-Blancs ».
Source : Lire Plus