Crème caramel, potimarron rôti ou encore flan de sa grand-mère… Christophe Michalak confie au JDNews les saveurs qu’il préfère et qui l’inspirent chaque jour dans ses créations pâtissières. Chaque jour, le chef sélectionne avec précision les produits qui composent ses gourmandises. L’importance du goût et rien d’autre, voilà ce qui anime le fouet d’un des Champions du Monde de la Pâtisserie. Retour sur ses plaisirs coupables et ses adresses bien à lui.
Le JDNews. Votre plat réconfort ?
Christophe Michalak. Un potimarron au four, mêlé à mes pâtes ou à mes gnocchis maison : j’ai un nom polonais mais je suis d’origine italienne, donc la pasta, c’est important !
La vraie technique de chef ?
Le travail et l’expérience de la pâte levée – farine, eau, levure – selon que tu veuilles faire des croissants, de la brioche, du pain.
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Votre adresse secrète ?
Le Bistrot Quàsi, à Eygalières. Le chef Édouard Giribone fait une crème caramel incroyable, un fondant au chocolat dingue… Tout ce que je rêve de manger !
Qu’est-ce que vous cuisinez quand vous recevez des amis à l’improviste ?
J’ouvre le frigo et je compose. Sans vouloir être prétentieux, je suis très fort pour ça ! (Rires.)
Votre dessert d’enfance ?
Un flan chez un boulanger de Senlis, en vacances chez ma grand-mère. Petit à petit, j’en mangeais la totalité en une après-midi !
Le premier plat dont vous avez été fier ?
Quand je suis arrivé au Plaza Athénée, j’ai développé ma religieuse caramel beurre de sel, une vraie signature.
Votre plaisir culinaire coupable ?
Aller voir des amis ou des restos qui proposent quelque chose de singulier : à Paris, le Café des ministères, les Brigades du Tigre, Piero TT – l’italien de Pierre Gagnaire.
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