![Jordan Bardella.](https://www.lejdd.fr/lmnr/rcrop/375,250,FFFFFF,forcey,center-middle/img/var/jdd/public/styles/paysage/public/media/image/2025/02/15/16/sipa_01196549_000037.jpg?VersionId=mBtDgAY_rvCNXSruMpV4hzv8N42j_oq4)
Jordan Bardella était à Castres ce samedi 15 février pour une séance de dédicace de son livre Ce que je cherche. Au lendemain du discours de J.D. Vance – très critiqué par la gauche européenne, mais applaudi par la droite –, le président du Rassemblement national (RN) a été invité à réagir par les médias présents, dont BFMTV. Pour le bras droit de Marine Le Pen, « le constat de J.D. Vance est assez lucide » sur la liberté d’expression et la question migratoire.
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« Le discours dominant n’est plus le discours majoritaire dans le pays. Je crois qu’il a raison de s’inquiéter d’une dérive orwellienne de la gauche qui milite pour restreindre la liberté d’expression, qui est aujourd’hui en danger dans notre pays », a-t-il poursuivi.
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Jordan Bardella a ensuite évoqué le « militantisme de gauche et d’extrême gauche » en France, « qui se réjouit, après un harcèlement ciblé, qu’une chaîne de télévision comme C8 mette la clé sous la porte, avec les conséquences que cela a derrière en termes de chômage », ou qui « danse de manière absolument ignoble et abjecte sur la mort d’un adversaire politique » – en référence aux scènes de liesse sur la place de la République à Paris après la mort de Jean-Marie Le Pen.
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Le discours de J.D. Vance a fait réagir le monde entier. À Munich, face à une foule de dirigeants internationaux, le vice-président américain de Donald Trump a énuméré les défis qui, selon lui, menacent l’Occident. D’après lui, il n’y aurait « aucun sujet plus important que l’immigration de masse ».
Le numéro 2 de la Maison-Blanche a également laissé entendre qu’il soutenait l’Alternative pour l’Allemagne (AfD), estimant qu’il n’y a « pas de place pour des pare-feu » contre le parti nationaliste allemand. Les propos de J.D. Vance ont été très mal accueillis par la gauche européenne, tandis que la droite française a approuvé ce qu’elle considère comme « un discours historique ».
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