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Au lendemain de la prise de parole du ministère de l’Intérieur, une semaine après le placement en détention d’un membre de la BAC accusé de violences, le mouvement de contestation ne faiblit pas à Marseille selon les syndicats de police
Au lendemain de la prise de parole du ministère de l’Intérieur, une semaine après le placement en détention d’un membre de la BAC accusé de violences, le mouvement de contestation ne faiblit pas à Marseille selon les syndicats de police
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