Prince Harry “obsédé” ? Le frère de Lady Diana s’emporte en plein coeur du procès de son neveu

• Le 7 juin 2023, le prince Harry a mentionné le nom de Chelsy Davy plus d’une centaine de fois.
• La journaliste Amanda Platell s’est demandée si le prince Harry n’était pas obsédé par son ex.
• L’oncle du prince Harry, Charles Spencer, a défendu son neveu face à une telle accusation.

Charles Spencer s’emporte contre la journaliste du Daily Mail Amanda Platell. Le prince Harry en était à la deuxième journée du procès l’opposant au Mirror Group Newspapers (MGN) à Londres, le 7 juin 2023. Alors que le duc de Sussex, 38 ans, était à la barre, il a évoqué le nom de son ancienne petite amie Chelsy Davy. Dans son témoignage, le prince Harry a mentionné le nom de son ex-petite amie 118 fois. C’est à se demander si, selon la journaliste Amanda Platell, le prince Harry n’est pas toujours obsédé par son ex.

“Harry est-il toujours obsédé par son ancienne amie Chelsy Davy ?”, s’est demandé la journaliste. “Harry la mentionne 118 fois dans son témoignage au tribunal, Meghan seulement cinq fois. Pas étonnant que Meg ne se soit pas présentée”, poste la journaliste du Daily Mail sur Twitter. Le tweet de la journaliste a plus qu’interpellé Charles Spencer, le frère de Lady Di, oncle resté proche du prince Harry. A savoir que Charles Spencer, 59 ans, avait déjà eu affaire avec cette journaliste qu’il avait déjà accusée de diffamation. “Pathétique”, a écrit l’oncle de prince Harry en introduction d’un message écrit non sans emportement.

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Prince Harry : l’oncle du duc de Sussex ne mâche pas ses mots

“Vous n’avez aucune honte et encore moins de crédibilité. La dernière fois que j’ai entendu parler de vous, vous étiez coupable de m’avoir diffamé, et votre employeur au Daily Mail était d’accord”, écrit le frère de Lady Di attaquant directement la journaliste sur Twitter. Dans la suite de son commentaire, l’oncle de prince Harry, Charles Spencer, fait également allusion aux patrons d’Amanda Platell. “Maintenant vous êtes chargée (par eux ?) de déformer des preuves juridiques importantes comme s’il s’agissait de quelque chose d’insignifiant”, a-t-il écrit.