ParMarnie Colvert Le 26 mai 2023 à 16h54
Dans un rapport partagé par les proches de Tina Turner et relayé dans le Daily Mail ce jeudi, ces derniers détaillent les causes exactes de la mort de la chanteuse, disparue le 24 mai à l’âge de 83 ans.Le monde de la musique a perdu l’une de ses plus grandes icônes ce mercredi. Tina Turner, surnommée la reine du Rock n’Roll, s’est éteinte le 24 mai à l’âge de 83 ans dans sa maison en Suisse. La star avait rencontré de nombreux problèmes de santé au cours des dernières années, entre son AVC en 2013, son cancer de l’intestin diagnostiqué en 2016 et sa greffe de rein en 2017, sans compter l’hypertension artérielle dont elle souffrait depuis quarante ans, et qu’elle avait choisi de traiter avec des médecines alternatives plutôt qu’avec un traitement médicamenteux quotidien. Alors que son porte-parole avait annoncé à la presse mercredi qu’elle était décédée “des suites d’une longue maladie”, ses représentants ont confirmé au Daily Mail que la star était morte “de causes naturelles“.Tina Turner : ce grand regret émis par la chanteuse sur sa santé
Comme mentionné quelques lignes plus haut, Tina Turner souffrait d’hypertension artérielle. Une condition relativement commune, quand on sait qu’elle touche 1,2 milliard de personnes dans le monde, selon une étude publiée dans la revue The Lancet en août 2021. Oui mais voilà, ne supportant pas le traitement contre l’hypertension, qui impactait son énergie et sa lucidité, Tina Turner avait alors décidé de remplacer les “médicaments conventionnels par des médicaments homéopathiques”, sans avertir les médecins. Un choix qui lui a coûté cher, des années plus tard. “Rarement dans ma vie je m’étais autant trompée. Je ne savais pas qu’une hypertension non contrôlée aggraverait ma maladie rénale et que je tuerais mes reins en renonçant à contrôler ma tension artérielle”, avait-elle déclaré. “Je me suis mise en grand danger en refusant de voir la réalité en face: j’avais besoin d’un traitement médicamenteux quotidien et à vie. Pendant trop longtemps, j’ai cru que mon corps était un bastion intouchable et indestructible.”