Le prince Louis s’est généralement très bien tenu lors des derniers événements liés au couronnement de Charles III. Ce qui ne l’a pas empêché d’amuser les spectateurs avec quelques pitreries.
- Le prince Louis fait toujours parler de lui lors d’événements royaux.
- Le fils cadet de Kate Middleton et du prince William est connu pour ses grimaces.
- Une psychologue explique pourquoi les pitreries du prince Louis sont normales pour un garçon de sa position.
Le prince Louis et ses pitreries, la psychologue Emma Kenny décrypte. Le prince Louis, qui vient d’avoir 5 ans le 23 avril dernier, est connu pour ses grimaces et ses petites manies. D’ailleurs, lors du couronnement de Charles III le 6 mai 2023, Louis n’a pas pu s’empêcher de faire ses grimaces comme quand il était avec ses parents et ses aînés dans le carrosse du couronnement. Sur le balcon, soncomportement effronté n’a pas fait défaut non plus.
Tous se souviennent des petits exploits du cadet du prince et de la princesse de Galles lors du Jubilé de platine de sa défunte grand-mère, la reine Elizabeth II. Sur ce même balcon du Buckingham Palace, le prince Louis avait été photographié en train de mettre ses mains sur ses oreilles alors qu’il était aux premières loges avec les siens pour suivre le défilé aérien. La psychologue Emma Kenny a déclaré au magazine OK! que les agissements du prince Louis en public, pendant les divers événements royaux, sont normaux.
Selon cette psychologue, les pitreries craquantes du prince Louis sont un “comportement typique de troisième enfant“. “George et Charlotte – les premier et deuxième enfants – ont tout fait, alors en tant que troisième enfant de la fratrie, Louis a peut-être réalisé que devenir un peu plus un ‘personnage’ peut vraiment aider“, explique Emma Kenny. A cause de sa position vis-à-vis du prince George, 9 ans, et de la princesse Charlotte, 7 ans, en tant que troisième enfant, le prince Louis chercherait à se démarquer. “Louis doit être très intelligent et se demander comment il peut se démarquer alors que ses compétences sont bien moindres que celles de son frère et de sa sœur“, souligne la psychologue.