La mort de Michel Cordes a beaucoup choqué. Dans Touche pas à mon poste de ce 9 mai, de nouvelles révélations sur le décès du comédien de Plus belle la vie ont été dévoilées.
La mort de Michel Cordes a choqué les fans de la série Plus belle la vie dans laquelle le comédien avait joué pendant près de 18 ans. Le 5 mai dernier, le comédien de 77 ans a été retrouvé mort à son domicile de Grabels par arme à feu. Dans l’attente des résultats de l’autopsie, les autorités privilégieraient la thèse du suicide. Dans Touche pas à mon poste, sur C8, ce 9 mai, de nouveaux éléments ont été ajoutés à l’affaire. Le chroniqueur Gilles Verdez et la journaliste culture Europe 1, Solène Delinger, ont expliqué les faits et apporté ces nouvelles révélations.
Dans cette affaire, plusieurs hypothèses avaient été évoquées et écartées, notamment celle d’un cambriolage qui aurait mal tourné et celle de l’action de la mafia, comme l’explique Gilles Verdez. Les premiers éléments comme les témoignages des voisins et des proches du comédien privilégieraient la thèse du suicide. Le parquet de Montpellier a ouvert une enquête pour déterminer les causes du décès de celui qui incarnait Roland Marci dans la série de France 3. “En l’état des informations dont nous disposons, M. Cordes se serait volontairement donné la mort par arme à feu à son domicile de Grabels“, avait déclaré le vice-procureur Jean-Christophe Tixier.
Comme le rapporte Solène Delinger, Michel Cordes “n’allait pas très bien”. “Son ancienne propriétaire, qui était toujours en contact avec lui, a confié qu’elle l’avait trouvé beaucoup moins bien moralement depuis son divorce. Il s’est séparé de sa compagne il y a un mois”, a-t-elle révélé, expliquant que l’acteur avait très mal vécu l’arrêt de Plus belle la vie. Bernard Montiel a ajouté : “il avait rencontré une retraitée, une inconnue. Elle l’a planté, elle est partie très récemment”. Avec son décès, l’acteur a vécu un “bouleversement professionnel et personnel”, a rappelé Gilles Verdez. “Les voisins l’ont trouvé changé”, a-t-il ajouté. La journaliste Solène Delinger a décrit la “détresse émotionnelle” ressentie par Michel Cordes avant de mourir. “Tout ça paraît très préparé”, a conclu Gilles Verdez.