Selon des anciens membres des forces armées anglaises, la reine Elizabeth II aurait pris une décision sans précédent concernant le prince William.
- Voilà une information ultra confidentielle révélée
- Selon d’anciens membres des forces armées anglaises, la reine Elizabeth II aurait pris une décision historique pour le prince William
- Elle aurait aimé qu’il s’engage dans la guerre qui a touché l’Afghanistan
C’est une information confidentielle qui vient d’être révélée. Selon un ancien chef de l’armée, la reine Elizabeth II aurait eu une idée très précise de ce qu’elle espérait pour le prince William. En effet, en 2001, alors que la guerre en Afghanistan fait rage, la Monarque aurait voulu que le fils aîné du roi Charles III s’engage dans cette guerre. Une discussion a alors eu lieu entre la reine et le général Sir Mike Jackson, alors chef de l’armée britannique. Dans un prochain documentaire d’ITVX intitulé The Real Crown, ce dernier va enfreindre le protocole en révélant les détails de son audience privée avec la reine.
Il a déclaré : “Que se passe-t-il dans ces audiences et qui dit quoi à qui reste-t-il pour les deux personnes impliquées, et j’enfreindrai la règle de ne pas divulguer ce qui se passe à cette occasion.” Sir John Scarlett, à l’époque chef du MI6, a déclaré : “Bien sûr, elle a une autorisation complète pour tout. Elle a un accès complet à une quantité exceptionnelle d’informations que quiconque. William avait très envie d’y aller. Elle est très, très discrète, complètement fiable et complètement au top des détails. Je me souviens avoir pensé à l’époque, ‘Wow, Sa Majesté en sait plus que nous'”. Mais la reine Elizabeth II avait fait machine arrière, estimant que la sécurité du prince William n’était pas assurée. Ainsi il a suivi une formation à l’Académie royale militaire de Sandhurst pendant 44 semaines après avoir obtenu son diplôme universitaire. Il a été nommé officier de l’armée en décembre 2006.
Mark Cann, directeur de la British Forces Foundation, a déclaré dans la série: “William avait très envie d’y aller. Mais c’était complexe, et de très grands esprits et des gens expérimentés s’y sont penchés. Je pense que c’était vraiment délicat. Quiconque est dans l’armée et n’a pas été en opération ressent un sentiment de déception. Et je pense surtout que c’était la seule (guerre) à l’époque, vous avez tout le monde autour de vous à l’époque qui y a été impliqué. Il y a donc un sentiment de déception.”