Opéré du coeur, il y a quelques jours, Michel Drucker s’est réveillé et va bien, selon les informations fournies par Benjamin Castaldi, ce vendredi sur le plateau de TPMP.
Les nouvelles concernant Michel Drucker sont plutôt rassurantes. Hospitalisé il y a quelques jours, l’animateur emblématique du service public a dû subir une lourde opération du coeur, comme l’ont révélé nos confrères de Voici. Ce vendredi 24 mars, sur le plateau de Touche pas à mon poste, Benjamin Castaldi a fait le point sur l’état de santé de son ami. “Il va très bien. Il reparle depuis aujourd’hui. C’était une opération un peu compliqué. On lui a changé une valve, la valve mitrale. Il y avait une espèce de microbe qui avait attaqué cette valve. Mais l’opération s’est très bien passé”, a assuré l’animateur qui remplaçait, pour l’occasion, Cyril Hanouna.
Benjamin Castaldi a également donné des précisions sur la date du retour de Michel Drucker à l’antenne, sur France 3 avec Vivement dimanche. “Il devrait revenir, soit au mois de juin, après Roland-Garros, soit au mois de septembre”, a précisé l’ancien animateur de Secret Story. Interrogé par certains de ses chroniqueurs qui souhaitaient savoir s’il avait pu parler, en personne, à Michel Drucker, Benjamin Castaldi a ajouté : “Je ne lui ai pas parlé car il était en réanimation jusqu’à ce matin. J’ai eu son beau-frère, Philippe Alain. Et tout va bien ! On l’embrasse très fort et on espère qu’il va revenir très vite”.
Cette lourde opération subie par Michel Drucker vient s’ajouter aux récents pépins de santé de l’animateur. En 2020, il avait été hospitalisé de longues semaines pour une endocardite infectieuse, puis pour un triple pontage et enfin l’infection de sa cicatrice. Il avait alors été opéré pendant huit heures. “Mon cœur a été arrêté pendant quelques heures et branché à une machine. Là, j’ai réalisé avoir frôlé la catastrophe”, confiait-il alors au Parisien. En février dernier, Michel Drucker avait été, une nouvelle fois, hospitalisé pour une semaine d’examens de contrôle. Un séjour finalement prolongé de trois semaines suite à la découverte, par les médecins, d’éléments de récidive ayant nécessité des soins supplémentaires pendant une quinzaine de jours. Il avait alors pu rentrer chez lui, fin février.