Au début du mois de mars, Nicolas Sarkozy a perdu son père. A l’annonce de la mort de Pal Sarkozy, Carla Bruni se trouvait à des milliers de kilomètres, comme le rapporte Gala.
Nicolas Sarkozy a dit adieu à son père. Samedi 4 mars dernier, Pal Sarkozy est mort à l’âge de 94 ans. C’est Carla Bruni qui avait annoncé la triste nouvelle, sur son compte Instagram. “RIP Pal Sarkozy de Nagy Bocsa, 5 mai 1928 – 4 mars 2023. Repose en paix”, écrivait-elle en légende d’une photo en noir et blanc de son beau-père jeune. Très touchée par la mort du père de son mari, Carla Bruni n’était pas à ses côtés lors de la triste annonce. Selon Gala, ce jeudi 23 mars en effet, l’épouse de Nicolas Sarkozy se trouvait très loin de son mari puisqu’elle était présente à Al Ula, en Arabie Saoudite, pour participer à la Semaine de la langue française et de la francophonie où elle donnait un concert. “Il faut que ça arrive quand je suis loin”, a-t-elle confié à nos confrères. Une fois revenue en France, Carla Bruni a pu soutenir Nicolas Sarkozy.
Quelques jours après en effet, l’ancienne mannequin a épaulé l’ex-président de la République à l’enterrement de son père. Pour les obsèques de Pal Sarkozy, il a pu compter sur la présence et le soutien de ses fils aînés, Pierre et Jean, de ses frères, François et Guillaume, de son demi-frère Olivier et de sa demi-soeur Caroline. Depuis la mort de son papa, Nicolas Sarkozy n’a pas publiquement pris la parole. Il faut dire que l’ancien président de la République entretenait des relations conflictuelles avec Pal Sarkzoy, qu’il n’a jamais pardonné d’avoir quitté sa mère et ses trois enfants alors qu’ils étaient encore très jeunes. “Nicolas lui en voulait terriblement d’avoir abandonné sa mère”, confiait d’ailleurs Brice Hortefeux dans les colonnes du Monde.
“Moi qui venais d’une famille bourgeoise classique, j’écarquillais les yeux quand il me disait qu’il allait voir son père pour le contraindre de payer à sa mère la pension alimentaire”, ajoutait l’ancien ministre. Très discret à ce sujet, Nicolas Sarkozy avait brièvement évoqué son papa en 2005 lors d’une émission de télé. À l’époque, l’ex-chef de l’État avait repris les paroles du tube Si seulement je pouvais lui manquer de Calogero : “À part d’un père, je ne manque rien”. Décrit dans Le Monde comme un “personnage fantasque, mythomane, un aventurier”, Pal Sarkozy a souvent rabaissé son deuxième fils, “le seul de la famille à être ‘petit’, répétait-il, n’était pas son enfant préféré”, “contrairement aux deux autres garçons qu’il a eus avec Andrée, Guillaume, l’aîné, et François, le troisième, qu’il aime décrire comme bien plus grands, forts, doués et fortunés”.