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Un juge de la Cour du Québec a arbitré en faveur d’un homme accusé d’avoir harcelé et menacé son voisin. Même si ce n’est pas “poli”, un doigt d’honneur “n’entraîne pas de responsabilité pénale”, estime-t-il.
Un juge de la Cour du Québec a arbitré en faveur d’un homme accusé d’avoir harcelé et menacé son voisin. Même si ce n’est pas “poli”, un doigt d’honneur “n’entraîne pas de responsabilité pénale”, estime-t-il.
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