Un trentenaire, soupçonné d’avoir tagué un mur du commissariat de la ville, a été interpellé, samedi, à Montpellier (Hérault), relate Gazette Live. L’homme, âgé de 30 ans, s’est présenté ce jour-là à l’accueil de l’hôtel de police, en demandant à parler à son ex-compagne, persuadé qu’elle se trouvait en garde à vue. Or, aucune personne ne répondant aux prénom et nom donnés par l’individu n’était au commissariat.Sur le parvis du bâtiment, l’homme, une fois dehors, est soupçonné d’avoir tagué, avec une bombe de peinture rose, un message, en lettres géantes, poursuit le site d’actualité, indiquant, visiblement, le prénom et le nom de celle qu’il recherche, le nom d’une rue. L’inscription était notamment accompagnée d’un cœur, et du « A » d’anarchie.Il a été appréhendé par les policiers, en état d’ivresse, dans les rues de la ville. Connu de la justice pour des faits de violences conjugales, l’homme, qui a l’interdiction d’entrer en contact avec son ex-compagne, fait l’objet d’une convocation devant la justice.Faits diversHérault : Un homme en garde à vue pour avoir supposément tagué « N°10 Zizou » sur la façade d’une mairieFaits diversGard : Des inscriptions en corse contre l’Etat français sur la façade de la future gendarmerie