Victime d’un chantage à la photo intime, Jean-Michel Maire a révélé jeudi 9 février 2023, sur le plateau de Touche pas à mon poste, qu’une femme lui a réclamé 3.500 euros pour ne pas rendre publique le cliché en question.
Dernier chroniqueur historique de Touche pas à mon poste, Jean-Michel Maire, qui a participé au lancement de l’émission sur France 4 en 2010, était une nouvelle fois présent sur le plateau du talk-show emblématique de C8 jeudi 9 février 2023. Ce jour-là, Cyril Hanouna a reçu plusieurs invités dans son émission, dont une jeune femme qui a récupéré seule son vélo disparu, et filmé son voleur. Au cours du débat qui fut organisé entre les chroniqueurs à ce sujet, Jean-Michel Maire a révélé une anecdote concernant sa vie personnelle. En fait, le journaliste fut victime d’un chantage à la photo intime.
“C’était une fille avec qui j’avais noué des relations épistolaires, enfin par écrit sur les réseaux. Je ne l’avais jamais vue, parce qu’elle habitait loin, soit disant à Orléans. On devait se voir, quinze jours pour plus tard. Du coup, on s’est beaucoup écrit“, a expliqué Jean-Michel Maire, afin de recontextualiser l’histoire. Le chroniqueur a ensuite révélé avoir envoyé une photo intime à son interlocutrice. “Une photo sous la douche, vous voyez le genre. Et elle avait fait de même. Elle l’avait fait en premier“, a précisé le journaliste, avant de détailler la tentative d’extorsion dont il fut victime par la suite.
“Elle voulait me donner rendez-vous. Mais au dernier moment, elle m’a dit : ‘Je ne viendrai pas et non seulement je ne viendrai pas, mais si tu ne veux pas que je balance ma photo à tout le monde’. Et elle me réclamait 3500 euros. J’ai été porté plainte. J’ai hésité. Est-ce que je paie ou pas ?“, a dévoilé Jean-Michel Maire. Après avoir contacté la police, les enquêteurs en charge de cette affaire ont élaboré un piège pour arrêter celle qui faisait chanter le chroniqueur. Malheureusement, le jeune femme à l’origine de cette histoire ne s’est pas présentée au rendez-vous, et n’a donc jamais été appréhendée. “C’est très dangereux de vouloir se faire justice soi-même“, a finalement conclu Jean-Michel Maire.