Lorsqu’il a traversé une longue dépression, James Middleton a pu compter sur le soutien de ses soeurs. Pippa et Kate Middleton ont en effet accompagné le jeune homme en thérapie.
- Kate Middleton est proche de James et de Pippa
- James Middleton a vécu une longue dépression
- Kate et Pippa Middleton ont accompagné leur frère en thérapie
Chez les Middleton, le soin apporté à la santé mentale est une histoire de famille. Dans un nouvel essai écrit dans les colonnes du Sunday Times, James Middleton s’est confié à coeur ouvert sur la longue dépression qu’il a traversée, notamment après la mort de sa chienne, Ella. “Elle était à côté de moi dans mes moments les plus sombres, la tête sur mes genoux. Winston Churchill se plaignait d’être suivi par le ‘chien noir’ de la dépression. J’avais mon propre chien noir mais elle était ma grâce salvatrice”, a écrit le frère de la princesse de Galles. Ses sœurs, Pippa et Kate, ont toutes deux des chiens qui étaient les chiots d’Ella. “Toute la famille est venue faire ses adieux. Je ne peux pas parler pour eux mais je crois qu’elle a aussi influencé leur vie, a-t-il ajouté. Lupo, l’ancien chien de Catherine et William, était l’un des chiots d’Ella. Ma sœur Pippa et son mari ont un chiot d’Ella, tout comme d’autres membres de la famille.”
Après le décès d’Ella, James Middleton a décidé de suivre une thérapie pour traverser cette période difficile. Et ses sœurs l’ont soutenu pendant des mois. “Mes sœurs sont venues à certaines de mes séances de thérapie. Elles ont toujours été là dans les moments difficiles et elles ont également été à mes côtés dans les moments les plus difficiles. Pour cela, je leur en serai éternellement reconnaissant”, a-t-il écrit. Dans une interview accordée au Telegraph Magazine, James Middleton racontait que l’épouse du prince William l’avait déjà envoyé en thérapie cognitivo-comportementale après s’être sentie “complètement démunie”. “J’ai de vagues souvenirs de la façon dont… je ne pouvais rien faire. Je ne pouvais plus dormir, je ne pouvais plus lire un livre, je ne pouvais plus regarder un film, je ne pouvais plus manger”, se souvenait-il, expliquant avoir décidé d’aller dans un hôpital psychiatrique.
“Le fait est que, peu importe l’expérience que quelqu’un a, les membres de votre famille sont toujours les personnes les plus difficiles à qui parler. Tu as également une manière très différente d’interagir avec ta famille qu’avec tes amis”, continuait l’époux d’Alizée Thévenet. A l’époque, la famille de James Middleton a tout de suite compris que quelque chose n’allait pas. “Ma mère voyait que je ne mangeais pas et elle savait. Elle voyait comment je la regardais et elle savait. C’est la même chose avec toute ma famille, nous sommes très proches”, affirmait-il alors. Mais pour lui, cette proximité était “un défi” : “Je me souviens avoir eu l’impression que j’avais presque à les rassurer : ‘Je serai de retour, mais c’est un processus et il va me falloir du temps pour que je récupère'”. Très à l’aise sur le sujet de la santé mentale, James Middleton a inspiré ses deux soeurs, plus unis que jamais.