Agressée violemment par deux hommes, Caroline Margeridon préfère philosopher. Si elle garde le sourire, l’acheteuse d’Affaire conclue a été traumatisée en revoyant les images de ce vol.
Caroline Margeridon a vécu une soirée mouvementée. Le 8 janvier dernier, l’acheteuse d’Affaire conclu a été victime d’une agression alors qu’elle se trouvait au marché Biron, là où se situe sa boutique d’antiquités. Ceux hommes l’ont interceptée sur le parking avant qu’elle ne rejoigne sa voiture en début de soirée puis l’ont frappée au visage avant de la projeter au sol et de lui voler plusieurs objets personnels, sa montre mais aussi son sac à main de luxe estimé à plus de 10.000 euros, la clef de sa boutique, 650 euros d’argent liquide et ses lunettes. Au lendemain, elle avait donné de ses nouvelles dans une vidéo publiée sur son compte Instagram. “C’est la vie. On n’est pas mort. Ce sont des petits cons“, commençait Caroline Margeridon.
“Je pense qu’on va les retrouver parce qu’ils ont mis de l’ADN et ça, ça va leur faire un grand choc. Moi je ne tends pas la joue quand on m’en fout une. Si on avait touché à mes enfants, j’aurais été beaucoup plus énervée. Voyons le côté positif ! […] On n’est pas malade, ils ne m’ont pas mis de couteau. On est dans un pays merveilleux, il faut continuer à ne pas avoir peur“, ajoutait-elle, en faisant passer un message important à ses nombreux followers. Après cette agression, elle a été porter plainte. Puis une vidéo a été retrouvée. “Là, j’ai vu mon agression. C’est vrai que je me suis retrouvée avec un œil au beurre noir assez costaud et des bleus partout alors que je n’avais rien senti. (…) C’est assez traumatisant de se voir“, a expliqué Caroline Margeridon sur les ondes de RTL ce samedi 28 janvier.
“Ce qui m’a fait flipper, c’est que j’entends ‘courir’ au moment où j’ouvre ma portière, et j’entends ‘attrape-la’. Ils ont enfoncé leurs grosses mains dans mon œil et ils ont appuyé tellement fort que ça m’a fait un hématome”, a-t-elle décrit, encore sous le choc des images. Malgré cette agression violente, Caroline Margeridon assure ne pas avoir eu peur. “J’ai une force ou une inconscience : quand il m’arrive un problème, que ce soit physique ou moral, j’ai toujours l’impression que ça ne m’arrive pas”, a ajouté l’acheteuse emblématique d’Affaire conclue dans l’émission On refait la télé. Elle, qui se compare à “un compteur électrique”, n’a donc pas ressenti le danger. “Je gère très bien les traumatismes. Ca a un nom, le syndrome de je ne sais pas quoi”, a-t-elle confié. Et de conclure : “C’est chouette parce que ça vous évite de paniquer, de vous dire que vous ne pouvez plus sortir toute seule”.