Invité de RTL ce mardi 24 janvier, Guillaume Canet a fait quelques révélations sur l’attitude de Zlatan Ibrahimovic qui joue dans son nouveau film, Astérix et Obélix : l’Empire du milieu.
Fidèle à lui-même. Pour son premier rôle au cinéma, le footballeur Zlatan Ibrahimovic n’a pas failli à sa réputation. C’est ce que révèle Guillaume Canet, qui l’a dirigé pour son huitième long-métrage, Astérix et Obélix : l’Empire du milieu – en salles dès le 1er février. Comme à l’accoutumée, le réalisateur s’est entouré de ses plus proches. Ainsi, les spectateurs y retrouveront par exemple Gilles Lellouche, sa compagne Marion Cotillard et même son fils Marcel. Mais pour cet immense barnum, Guillaume Canet a également fait appel à une pléiade de personnalités, aussi bien des comédiens, que des humoristes, des chanteurs et rappeurs et même des sportifs. Outre Florent Manaudou, c’est donc Zlatan Ibrahimovic qui a accepté de faire partie de cette folle aventure.
L’attaquant suédois y incarne Antivirus, le bras droit de Jules César (joué par Vincent Cassel). Déjà en apprenant quel était son rôle, Zlatan Ibrahimovic a eu une remarque savoureuse. “Comment César pourrait jouer le bras droit de César ?“, a-t-il rétorqué à Guillaume Canet, comme il l’a révélé sur le plateau de Quotidien. Et cela s’est poursuivi lorsqu’il a été question de rémunération. “Après, il m’a demandé comment ça allait se passer au niveau de l’argent“, a révélé Guillaume Canet qui a redirigé la star vers les producteurs du film, puisque ce n’est pas lui qui gère cet aspect. Réponse de l’intéressé ? “Ok, mais vous n’allez pas me payer avec un pass pour un an au parc Astérix ?!“
Visiblement, Guillaume Canet ne manque pas d’anecdotes au sujet de Zlatan Ibrahimovic. Ainsi, il a réitéré ce mardi 24 janvier au micro de la matinale de RTL, dévoilant que ce dernier ne voulait s’adresser qu’à lui en cas de besoin sur le tournage. “Il ne voulait parler qu’à moi. On a tout essayé, moi j’avais besoin que mes assistants puissent organiser les choses. Tout, jusqu’à son arrivée à l’avant-première… Il n’y avait que moi“, a expliqué le réalisateur. Et de renchérir : “Il m’appelle Boss et moi, je l’appelle Boss.” Toutefois, cela n’a en rien entaché la bonne ambiance générale qui régnait sur le plateau. Malgré quelques petites exigences, Zlatan Ibrahimovic était loin de se comporter en diva. Au contraire, il était “extrêmement facile, d’une gentillesse et très drôle” a assuré Guillaume Canet.