Par Lola G.
Depuis le vendredi 25 novembre 2022, Leslie Hoorelbeke et son compagnon, Kevin Trompat, n’ont donné aucun signe de vie. Jeudi 26 janvier 2023, le Parisien a partagé des SMS qui en disent plus sur la nuit où ils se sont volatilisés.
Leurs proches ne perdent pas espoir de les retrouver vivants… Depuis le vendredi 25 novembre 2022, Leslie Hoorelbeke, et son compagnon, Kevin Trompat, n’ont donné aucun signe de vie. Alors que l’enquête avance peu à peu, c’est dans les colonnes du Parisien que Patrick, le père de la jeune femme a estimé : “Leslie n’a pas pu disparaître volontairement, elle est peut-être séquestrée, retenue contre son gré, victime collatérale d’une situation qui lui échappe complètement.” De son côté, la belle-mère de celle-ci, Émilie Cardré, a indiqué : “Nous devons nous tenir prêts lorsque Leslie reviendra.” Avant leur disparition, le couple avait passé une soirée chez un ami chauffeur-livreur dans une maison située au centre-bourg de Prahecq.
Comme le Parisien l’indique, “le téléphone de Leslie a borné à Niort le samedi 26 novembre à la mi-journée, avant de s’éteindre définitivement.” Peu avant sa disparition, Leslie Hoorelbeke avait rendu visite à Jérémy, “un trentenaire, père séparé et employé sur des chantiers.” Une fois rentrée chez elle, elle aurait écrit à celui-ci : “Je suis déjà sur Prahecq là (…) Tu me dis quand tu es dispo“, avant de lui confier : “Je bosse demain, c’est repas tranquille ce soir, enfin pour moi en tout cas.“
Mardi 24 janvier 2023, dans les colonnes de Closer, le père et la belle-mère de Leslie Hoorelbeke ont assuré qu’ils étaient persuadés que le couple était séquestré. “Si elle ne nous donne pas de nouvelles, c’est qu’elle ne peut pas nous en donner“, a indiqué Émilie Cardré. Estimant qu’il pourrait s’agir d’un crime vénal, celle-ci a précisé : “On n’est pas enquêteur, on ne peut pas réellement savoir, mais en tout cas, on est quasiment persuadés maintenant que tout part de cette soirée et le fait qu’il y ait cette somme d’argent, ça rapproche nos idées du crime qui serait plutôt vénal. Ça, il n’y a pas à en douter.” Enfin, elle a ajouté : “Aujourd’hui, nous voyons notre fille plutôt comme un dommage collatéral, en fait. Et ça, ça fait peur.“