L’enfance de Pamela Anderson n’a pas été toute rose. Dans un documentaire inédit sur Netflix, la star d’Alerte à Malibu témoigne de la relation ultra violente qu’entretenaient ses jeunes parents.
Bimbo mais pas trop, Pamela Anderson a décidé de répondre du tac au tac aux producteurs de la série Pam & Tommy diffusée en France l’an dernier sur Disney +. Refusant d’être une fois encore la proie des ragoteurs, la star d’Alerte à Malibu a confié ses archives personnelles au réalisateur Ryan White pour rétablir la vérité sur sa carrière et sa vie privée. Ce mardi 31 janvier 2023 débarquera ainsi sur Netflix le bien nomméPamela, a love story, documentaire long de près deux heures durant lesquelles Pamela Anderson se livre à coeur ouvert sans passer sous silence les épisodes les plus douloureux de son existence. A commencer par une enfance pas aussi rose qu’on ne pourrait le croire…
La célèbre beach girl a grandi loin des plages de Californie, dans une petite ville au coeur de l’île de Vancouver. Un décor idyllique qui a servi de cadre à une tragédie familiale dont Pamela Anderson porte encore les stigmates. La future star a vu le jour dans un milieu modeste. Ses parents, “encore fougueux“, entretenaient une relation hors du commun, mêlée de passion et de violence. “Mon père buvait beaucoup, ils se disputaient souvent, s’insultaient“, confie la star dans le documentaire. Pamela Anderson se souvient ainsi d’avoir vu Barry, son géniteur, arracher violemment l’aspirateur utilisé par sa mère alors qu’il regardait la télévision. Pourquoi ? “Pas d’aspirateur quand il y a un match de hockey“.
Impossible d’ignorer Barry quand on habite sur l’île de Vancouver. Le “bad boy de Ladysmith” se traîne une réputation d’arnaqueur, selon sa fille. Tout le monde a ainsi sa petite anecdote sur lui. Mais Pamela Andersonremporte haut la main le concours de la meilleure histoire à son sujet : “Mon père aimait la vitesse. Ma mère a une cicatrice sur le front parce que sa tête est passée à travers le pare-brise quand elle était enceinte de moi.” Ce premier traumatisme semble dérisoire au regard d’autres atteintes plus graves portées à la petite fille, victime d’attouchements sexuels de sa nounou, puis violée à l’âge de 12 ans…