Il utilisait son statut professionnel de protecteur et serviteur du peuple pour charmer ses victimes. Ces dernières ne savent pas qu’elles allaient être fouettées, pissées dessus, torturées…
Il est l’un des pires violeurs en série que la Grande-Bretagne n’ait jamais connus. Et pour cause, il a admis avoir commis 71 délits sexuels au cours de ces 20 dernières années. L’identité de ce violeur abominable de 48 ans vient d’être révélée le 16 janvier 2023, rapporte le Daily Mail. C’est un vrai monstre qui prenait plaisir à humilier ses victimes qu’il qualifiait d’ailleurs d’esclaves, précise le média britannique. Ses collègues de la police l’ont surnommé “B***ard Dave“. David Carrick, 48 ans, policier garde parlementaire, s’avère être le pire violeur en série de la Grande-Bretagne. Il y a de quoi choquer quand on sait que David Carrick, l’auteur de ces crimes sadiques, est un officier de la police des armes à feu du Met.
Le 16 janvier dernier, Carrick a admis avoir commis 48 viols et une série de crimes abominables commis à l’encontre de 12 femmes. Il a assouvi ses envies perverses sur ses victimes entre 2003 à 2020. Il a enfermé certaines de ses victimes dans un petit placard pendant dix heures sans nourriture. Il prenait du plaisir à les fouetter avec une ceinture, à pisser sur elles ou à les forcer à nettoyer sa maison en tenue d’Eve. “Je suis un officier de police, vous pouvez me faire confiance“, disait-il tout en montrant sa carte pour rassurer faussement ses victimes.
Pendant 17 ans, David Carrick a pu librement torturer et maltraiter des femmes. Il avait même persuadé ces dernières de ne rien révéler prétextant que personne ne les croira jamais. Les autorités ont raté neuf occasions de coincer David Carrick alors que dans huit de ces occasions, il y a mention d’incidents impliquant des femmes, explique le Daily Mail. Carrick ne s’est jamais inquiété. Il n’a jamais été arrêté ou suspendu de ses fonctions. Il est même devenu officier d’élite en 2009 et est chargé de la protection des ambassades et des bâtiments parlementaires, précise le média britannique.