Invitée ce lundi 9 janvier sur le podcast Entre nous de la radio VivreFM, Valérie Trierweiler est longuement revenue sur les raisons de son engagement associatif. L’ex-compagne de François Hollande a notamment dévoilé que le handicap de son père l’avait beaucoup marqué.
Il est assez rare que Valérie Trierweiler se confie à ce point. Pourtant, la journaliste de 57 ans a vécu tellement d’épreuves qu’elle pourrait parler pendant des heures sans jamais répéter deux fois la même chose. Connue dans la sphère publique pour avoir partagé la vie de l’ancien président de la République, François Hollande, cette dernière est désormais pleinement intégrée à l’équipe de Laurent Ruquier sur les Grosses Têtes.
Invitée ce lundi 9 janvier sur le podcast “Entre nous” de la station de radio VivreFM, Valérie Trierweiler a longuement parlé avec l’animatrice de l’émission, Ornella Damperon. Et notamment sur son choix de s’engager dans différentes associations. “Votre engagement associatif m’émeut”, a commencé la présentatrice avant d’être reprise par son invitée : “Non mais il n’y a pas de raisons parce qu’il y a beaucoup de gens qui font des choses”, lui a simplement répondu humblement Trierweiler.
Mais son engagement n’est pas venu de nulle part. Au fil de la discussion, la journaliste a évoqué qu’elle a toujours tiré cette envie de son enfance. Il faut dire que son père a été handicapé à vie à l’âge de 14 ans, touché par un éclat d’obus en 1944. “Mon père était handicapé, il ne travaillait pas, il était à la maison. Ce n’est pas à moi de dire si c’était un grand ou un petit handicap, il avait une jambe en moins. Je me souviens d’amis qui étaient très choqués de voir mon père avec un pilon parce qu’il préférait porter un pilon qu’une jambe“.
Le handicap de son père l’a obligé à vivre d’aides de l’Etat, de quoi faire comprendre à Valérie Trierweiler les difficultés auxquelles les personnes handicapées sont confrontées au quotidien. “Nous étions une famille nombreuse, nous n’avions pas d’argent, voilà donc aujourd’hui ce qui fait que je suis engagé auprès des personnes handicapées et auprès des personnes défavorisées, tout a toujours une explication, un sens…“. Une expérience de vie traumatisante qui l’a fait évoluer dans le but d’aider les autres.