- Le livre Le Suppléant du prince Harry va sortir le 10 janvier prochain
- On y apprend notamment qu’il a déjà consommé de la drogue
- En effet, plus jeune il a testé la cocaïne
Un mois seulement après la diffusion de la série choc Harry & Meghan, voilà que la famille royale britannique doit faire face à un nouveau problème : la parution des mémoires du prince Harry, prévue le 10 janvier prochain. Baptisé Le Suppléant, ce livre promet des révélations sur la vie du duc de Sussex qui confie notamment avoir déjà testé la cocaïne, comme le dévoile Sky News. En effet, le mari de Meghan Markle Harry raconte avoir “bien sûr” pris de la cocaïne à une époque expliquant qu’il n’avait pas trouvé cela “amusant”. “Chez quelqu’un, lors d’un week-end de chasse, on m’a proposé une ligne et ensuite j’en ai encore pris”, écrit-il. “Ce n’était pas très amusant, ça ne m’a pas rendu particulièrement heureux”, “mais ça m’a fait me sentir différent, et c’était mon objectif principal, se sentir, être différent”. “J’étais un jeune de 17 ans qui voulait essayer n’importe quoi qui vienne bousculer l’ordre établi. En tout cas, c’est ce dont j’essayais de me convaincre”.
Ce n’est pas la seule révélation. En effet, le prince Harry accuse son frère aîné, le prince William de l’avoir jeté au sol en 2019. William “m’a attrapé par le col, arrachant mon collier, et m’a fait tomber par terre”, relaterait Harry. “J’ai atterri sur la gamelle du chien, qui s’est brisée sous mon dos, les morceaux m’entaillant”. Son frère se serait ensuite “excusé”. A l’origine de leur dispute, l’époux de Kate Middleton aurait qualifié Meghan Markle de femme “difficile” et “impolie”.
Le prince Harry se confie sur ses années de guerre
Dans son livre, le prince Harry révèle aussi avoir tué 25 “combattants ennemis” en Afghanistan, qu’il voyait comme des “pièces d’un jeu d’échecs”. “Je m’étais fixé comme objectif, dès le premier jour, de ne jamais me coucher avec des doutes sur le fait que j’avais fait ce qu’il fallait, que j’avais tiré sur des talibans et uniquement sur des talibans, sans civils à proximité”, raconte-t-il dans le livre, selon le Daily Telegraph. Il sait “avec exactitude combien de combattants ennemis” il a tués. “Et il me semblait essentiel de ne pas avoir peur de ce nombre, 25”, qui ne lui procure ni “satisfaction” ni “embarras”.