- Dans son livre Le Suppléant, le prince Harry fait de lourdes révélations
- Il revient notamment sur son passé militaire
- Et avoue avoir tué 25 ennemis afghans
Le 10 janvier prochain, le prince Harry va une nouvelle fois faire parler de lui avec la publication de ses Mémoires, dans son livre baptisé Le Suppléant. Il revient notamment sur son parcours militaire et révèle aussi avoir tué 25 “combattants ennemis” en Afghanistan. Ces victimes étaient selon lui, des “pièces d’un jeu d’échecs”. “Je m’étais fixé comme objectif, dès le premier jour, de ne jamais me coucher avec des doutes sur le fait que j’avais fait ce qu’il fallait, que j’avais tiré sur des talibans et uniquement sur des talibans, sans civils à proximité”, raconte-t-il, selon le Daily Telegraph. Il sait “avec exactitude combien de combattants ennemis” il a tués. “Et il me semblait essentiel de ne pas avoir peur de ce nombre, 25”, qui ne lui procure ni “satisfaction” ni “embarras”.
Toujours très cash, le prince Harry n’épargne pas la Couronne, puisqu’il lâche une bombe contre le prince William ! En effet, le prince Harry accuse son frère aîné de l’avoir jeté au sol en 2019. Selon ses dires, William “m’a attrapé par le col, arrachant mon collier, et m’a fait tomber par terre”, relaterait Harry. “J’ai atterri sur la gamelle du chien, qui s’est brisée sous mon dos, les morceaux m’entaillant”. Son frère se serait ensuite “excusé”. Les deux frères se seraient alors disputés violemment car l’époux de Kate Midlleton aurait qualifié Meghan Markle de femme “difficile” et “impolie”.
Le prince Harry avoue avoir consommé de la drogue
Autre fait marquant dans son livre, le prince Harry avoue sans sourciller avoir “bien sûr” pris de la cocaïne à une époque expliquant qu’il n’avait pas trouvé cela “amusant”. “Chez quelqu’un, lors d’un week-end de chasse, on m’a proposé une ligne et ensuite j’en ai encore pris”. “Ce n’était pas très amusant, ça ne m’a pas rendu particulièrement heureux”, “mais ça m’a fait me sentir différent, et c’était mon objectif principal, se sentir, être différent”. “J’étais un jeune de 17 ans qui voulait essayer n’importe quoi qui vienne bousculer l’ordre établi. En tout cas, c’est ce dont j’essayais de me convaincre”.