Par La rédaction Le 28 décembre 2022 à 09h52
Ce mardi 27 décembre, Julie de Bona vivait une folle expérience dans Instinct animal sur France 2. La comédienne s’y est livrée comme jamais et notamment sur un événement qui a particulièrement marqué son enfance.Une Julie de Bona à fleur de peau. Ce mardi 27 décembre, la comédienne vivait une folle aventure aux côtés de Diego Buñuel et Perrine Crosmary en plein coeur de la nature sauvage du Serengeti. C’est même une véritable claque que Julie de Bona a prise dans Instinct animal. Ainsi, elle n’a pas caché ses larmes à l’antenne lorsque celles-ci perlaient face à la beauté du monde qui s’offrait à elle et s’est livrée comme rarement auparavant. Mais un moment qui semblait pourtant anodin l’a chamboulée. C’était au début de cette expérience. Julie de Bona et ses deux acolytes devaient alors traverser un bout de rivière dans laquelle cohabitent hippopotames et crocodiles. Si ces animaux sauvages étaient loin du petit bras qu’ils ont traversé, Julie de Bona a été prise de panique. Et pour cause, cela revenait à se confronter à l’inconnu. Julie de Bona n’avait pas d’autre choix que de baisser sa garde.De quoi réveiller en elle de vieilles angoisses. Se laissant envahir par son émotion, cette maman d’un petit bonhomme de quatre ans a accepté de lâcher prise et de revenir sur un événement qui a particulièrement marqué son enfance. Julie de Bona n’avait alors que sept ans lorsque son univers a été bouleversé. “Ma grande sœur est partie du jour au lendemain et ça m’a fait… C’était très triste pour moi“, a-t-elle raconté à Diego Buñuel. Depuis ce départ “loin“, Julie de Bona a “peur de l’abandon“. “C’est une insécurité peut-être donc j’ai besoin de me rassurer sur plein de choses“, a analysé celle qui a “plein d’angoisses tout le temps“. A tel point que cela la freine dans son quotidien. Julie de Bona vit une “bataille” intérieure entre instinct et mental.Ce qui empêche Julie de Bona de lâcher prise
“Mon intuition me dit d’y aller mais ce sont mes peurs qui me font ne pas y aller. J’ai l’impression qu’il y en a beaucoup chez moi que j’essaie de maîtriser par le mental et puis parce que la société te demande de ne pas crier. On a des codes de société donc tu te maîtrises. Moi j’ai plein d’angoisses tout le temps en fait“, a-t-elle expliqué. Ces codes sociétaux font d’ailleurs partie de ce qui empêche Julie de Bona de lâcher prise. “Les êtres humains ont conscience de tellement de choses que ça nous embrouille, ça nous empêche d’être instinctifs“, a-t-elle déploré, tandis que “les animaux sont dans le moment présent“. Reste à savoir si cette aventure hors du commun lui a permis de moins se prendre la tête et de profiter davantage du moment présent.