Dans un portrait brossé par le quotidien Libération, Alexia Laroche-Joubert lève le voile sur sa vie privée. La présidente de la société Miss France évoque notamment la mort tragique de son mari il y a 20 ans.
Ce samedi 17 décembre, Alexia Laroche-Joubert ne ratera pour rien au monde l’élection de Miss France 2023 sur TF1. Il s’agit en effet de sa “première fois” en tant que présidente de l’institution. Un heureux événement qui a également enflammé les réseaux sociaux depuis que de nombreux médias ont révélé les relations compliquées entre Alexia Laroche-Joubert et Sylvie Tellier. Témoin de leur prise de bec, Jean-Pierre Foucault, co-présentateur de la cérémonie, souhaite désormais faire taire les mauvaises langues. “J’y étais et ça n’a pas été si polémique que ça. À un moment, Sylvie a répondu à Alexia Laroche-Joubert en disant ‘non, je participe à l’émission, je ne suis pas d’accord avec toi, tu m’attristes’, c’est tout ! Et puis ensuite tout le monde a soufflé en disant qu’il y a un drame,” témoigne l’animateur au micro d’On refait la télé ce samedi 17 décembre sur RTL. Il ajoute : “C’est la vie et dans la vie, on s’engueule !”. Si “éruption volcanique” il y a eu selon Alexia Laroche-Joubert, attention à ne pas l’accuser d’avoir congédié l’ancienne reine de beauté. “C’est désagréable pour elle, et c’est désagréable pour moi“, explique la patronne des Miss dans Libération ce week-end.
Mère de deux filles, Solveig (20 ans) et Isaure (14 ans), mariée par trois fois, avec deux divorces à la clé, Alexia Laroche-Joubert a connu son lot de tourments. Ainsi de son premier mariage avec l’homme d’affaires Yan-Philippe Blanc qui s’est brutalement interrompu à la mort de ce dernier survenue brutalement à Paris dans la nuit du 9 juillet 2002 à Paris. Un accident de la route à moto met alors fin à une union placée sous le signe du bonheur. “J’ai tellement été en survie que j’ai quasiment fait un déni“, révèle Alexia Laroche-Joubert. A l’époque, la productrice de la Star Academy a reçu le soutien de sa mère qui a aussitôt pris l’avion depuis Bagdad pour la rejoindre et l’accompagner dans ces instants tragiques en compagnie de sa fille aînée. Sa vie, Alexia Laroche-Joubert la partage aujourd’hui avec un directeur d’hôtels, Mathieu Grinberg. Testée positive au Covid-19 après un dîner, la présidente de la société Miss France s’est peu à peu rapprochée de son futur compagnon, échangeant régulièrement avec lui. “C’est comme ça qu’on est entrés vraiment en contact, et donc je prenais de ses nouvelles, il prenait de mes nouvelles, et voilà, l’histoire a commencé comme ça”, avait-elle raconté il y a peu au micro de Jordan De Luxe.
On ne compte plus le lot de polémiques qui agitent régulièrement l’institution Miss France. L’ouverture de l’élection Miss France à des candidates plus “atypiques” par rapport aux canons jusqu’alors en vigueur fait ainsi couler beaucoup d’encre. Peuvent prétendre devenir des reines de beauté les femmes majeures, mariées avec ou sans enfant, couvertes de tatouages ainsi que les candidates transgenres. “En l’occurrence sur les transgenres, le règlement ne l’interdisait pas précédemment, précise la directrice du Comité à Matthieu Rouault sur RMC quelques heures avant l’élection de ce soir. Cela a toujours existé. Donc on ne sait pas, au moment où je vous parle, s’il y a déjà eu des femmes transgenres.” Interroger la place d’une femme transgenre “n’est pas un sujet, ça ne doit pas le devenir“. Alexia Laroche-Joubert ajoute : “Je trouve ça irrespectueux par rapport à ces femmes qui ont fait ce choix de devenir femme, qui quelques fois restent extrêmement discrètes là-dessus […] Ce n’est pas le rôle de la société Miss France que d’aller voir dans les culottes des jeunes femmes dans la mesure où elles répondent aux critères qui sont d’être civilement une femme.” De quoi faire réfléchir les mauvaises langues qui accusent encore la société Miss France d’être ringarde et archaïque !