Ana Girardot, aujourd’hui mariée à un certain Oscar Louveau, père de son fils Jazz, a eu une relation très médiatisée avec le fils d’un ancien premier ministre français.
Elle est de retour au cinéma dans La Maison, un film signé Anissa Bonnefont. Avec ce drame, Ana Girardot ajoute de nouvelles couleurs à sa filmographie, déjà composée de films romantiques (Deux Moi) et de comédies (Le Flambeau). Elle y incarne Emma, une jeune prostituée qui évolue dans un bordel berlinois. Un rôle assez éloigné, qui lui a permis de découvrir une facette inconnue de sa personnalité. “Je ne me connaissais pas cet aplomb“, a-t-elle confié dans les pages de Libération à propos de ce rôle de composition.
Dans la vraie vie, l’actrice mène un quotidien plus rangé, en tant que maman du petit Jazz, bientôt 2 ans, qu’elle élève avec son mari, le directeur artistique Oscar Louveau. Et ce dernier est arrivé il y a bien longtemps dans la vie de l’actrice, puisqu’ils se sont connus alors qu’ils étaient adolescents. “Je l’ai vu en train de fumer une cigarette, j’ai immédiatement changé mes vœux pour être dans le même lycée que lui“, confiait Ana Girardot à son propos. Amours de jeunesse, ils se sont mariés en 2008 à New York avant de divorcer puis de se retrouver des années plus tard et de convoler à nouveau, en 2020, avant d’accueillir leur fils.
Pour protéger son bonheur, l’actrice préfère rester discrète sur sa vie privée. Un privilège qu’elle n’a pas eu durant sa relation très médiatisée avec Arthur de Villepin, le fils de l’homme politique Dominique de Villepin, avec qui elle a été en couple de 2014 à 2019. Invitée dans l’émission Je t’aime etc. sur France 2 en septembre 2019, elle s’était confiée sur cette rupture douloureuse. “Ça va tellement mieux. Je n’échangerais pour rien au monde la Ana d’il y a un an contre la Ana d’aujourd’hui“, avait-elle déclaré avant d’expliquer combien le film qu’elle défendait à l’époque (Deux moi, de Cédric Klapisch, ndlr) lui avait servi de thérapie.