Lors du dernier épisode de son podcast, Meghan Markle a expliqué avoir été “objectifié” dans sa jeunesse. La duchesse de Sussex aimerait que sa fille, Lilibet, grandisse loin de cet univers.
- Meghan Markle a dévoilé un nouvel épisode de son podcast
- La duchesse de Sussex s’est longuement confiée à Paris Hilton
- Meghan Markle a expliqué ce qu’elle voulait pour sa fille, Lilibet
Meghan Markle est une maman louve. Pour ses enfants, et surtout pour sa fille, la duchesse de Sussex est prête à tout. Depuis la naissance de Lilibet, elle l’élève dans le respect et s’attache à la protéger contre les injustices qu’elle a elle-même vécues. Dans son dernier podcast sur Spotify, Meghan Markle s’est confiée à coeur ouvert sur les étiquettes qui lui ont longtemps collé à la peau. Dans le sixième épisode de sa série Archétypes, elle a examiné les étiquettes “bimbo” et “blonde stupide” en compagnie de Paris Hilton. L’occasion pour la duchesse de Sussex de se souvenir de son passage dans l’émission Deal or No Deal, à l’époque où elle n’était encore qu’actrice, dans laquelle elle était vue comme une “bimbo”.
A l’époque, Meghan Markle a décidé de quitter l’émission parce que son rôle ne la faisait pas se sentir “intelligente”. “Avant les enregistrements de l’émission, avec toutes les filles, on faisait la queue et il y avait différents endroits pour qu’ils nous mettent nos faux cils ou nos extensions ou vérifient le rembourrage de nos soutien-gorge, s’est rappelée l’épouse du prince Harry. On nous a même donné des bons pour des séances d’UV chaque semaine. Il y avait une idée très précise de ce à quoi nous devrions ressembler. C’était uniquement une question de beauté et pas nécessairement de cerveau.” Même si elle était entourée “de femmes intelligentes”, Meghan Markle a fini par travailler avec “la boule au ventre”.
“J’étais tellement plus que ce qui était objectivé sur scène, a ajouté Meghan Markle. Je n’aimais pas me sentir obligée de tout miser sur l’apparence. A l’époque, j’ai été réduite à cet archétype spécifique.” Puisqu’elle a souffert d’être ainsi vue, par ses employeurs et par les téléspectateurs, la duchesse de Sussex rêve d’un avenir plus radieux pour sa fille. “Je serais curieuse d’entendre vos réflexions sur cette idée parce que quand j’entends le mot bimbo, j’ai une connotation très négative, a demandé Meghan Markle à son invité. Je ne vois pas cela comme un accomplissement pour une femme, je veux que nos filles aspirent à accomplir des rêves plus élevés. Je veux que ma Lili soit bien éduquée et qu’elle veuille être intelligente et être fière de ces choses-là.”
Si elle a très mal vécu cette époque, Meghan Markle reste reconnaissante d’avoir pu, grâce à son travail, payer ses études et ses factures. Mais avec le recul, la duchesse de Sussex préfère se souvenir des boulots enrichissants pour son esprit qu’elle a pu faire. “J’avais également étudié les relations internationales à l’université, et il y avait des moments où j’étais sur le plateau de Deal or No Deal et je repensais à mon travail de stagiaire à l’ambassade des États-Unis en Argentine à Buenos Aires puis dans le cortège avec la sécurité du Trésor, a-t-elle conclu. Là, j’étais évaluée spécifiquement pour mon esprit, mon cerveau. Ici, j’étais évaluée pour tout autre chose.” Et ce n’est pas du tout ce dont rêve Meghan Markle pour la petite soeur d’Archie.