La Bretonne, qui a rejoint les rangs de Daesh en 2012, a été rapatriée ce mardi. Elle a été placée en détention provisoire suite à sa mise en examen.
Alors qu’elle fait partie des femmes rapatriées des camps syriens par la France ce mardi, la jihadiste Émilie König a été mise en examen et placée en détention provisoire ce mardi, par un juge antiterroriste, a constaté l’AFP lors d’une audience devant le juge des libertés et de la détention. Elle est soupçonnée d’avoir été très active dans le recrutement de membres pour le groupe terroriste Etat islamique et d’avoir appelé à commettre des attaques en Occident.
Visée par un mandat d’arrêt depuis plusieurs années, elle vient d’être mise en examen pour “association de malfaiteurs terroriste criminelle”.
La Bretonne âgée de 37 ans était l’une des premières Françaises à rejoindre les rangs de Daesh, en 2012. Comme elle, 15 mères et 35 mineurs ont été rapatriés après les demandes répétées des ONG et des familles.
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